Dans les étoiles…
Le reflet des étoiles
De quoi ça parle ? : Un homme se réveille après plus de 2 siècles de coma dans un caisson de stase, dans l’espace, seul et amnésique. Il ne connaît même pas son nom. Une IA l’informe alors qu’une collision est imminente, qu’il n’a que quelques minutes pour réagir et sauver sa vie.
Retour « coup de cœur » : C’est l’épisode de Noël 2024 de Duo de plumes qui m’a fait connaître ce roman de science-fiction de Cyril Vallée, l’un des 2 animateurs de mon podcast littéraire préféré. La voix de de Catherine Rolland a titillé ma curiosité. Il y a une quête d’identité, du mystère, du suspense, des personnages forts… Au début, j’ai hésité. Je lis peu de science-fiction. Allais-je pouvoir suivre le fil du récit ? J’ai fini par sauter le pas et acheter le livre…
Vraiment formidable ! La quête d’identité du héros a constitué mon fil rouge tout au long de l’histoire. Malgré des termes médicaux ou science-fictionesques parfois abscons pour la novice que je suis dans ces 2 domaines, j’avais envie de tourner les pages. J’ai même eu le plaisir de deviner une mini-romance en filigrane… La fan du genre que je suis a apprécié ! Cet embryon de romance m’a tellement plu que j’aurais même voulu en savoir plus, je suis restée un peu sur ma faim… « Le reflet des étoiles » constitue pour moi une jolie surprise, qui me donne envie de lire plus de SF. A découvrir !
Un personnage que j’ai particulièrement apprécié : Iacob, l’IA à l’humour sarcastique, qui m’a fait beaucoup rire. Bravo à Catherine Rolland pour l’interprétation orale, lors de la lecture !
1 citation qui m’a fait rire :« — Comme je vous l’ai dit, J.D. — je peux vous appeler JD? — vous n’avez pas vraiment le temps. Il ne reste assez d’énergie que pour maintenir votre caisson dans cet état pendant encore trois minutes. Peut-être moins. C’est d’ailleurs pour cela que je n’active pas la lumière : il faut faire un choix. Le caisson ? La lumière ? Le caisson ? […] — Le Caisson. […] — C’est un excellent choix, et je vous remercie de l’avoir fait! » (p. 9)